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La basket est devenue un phénomène de société soutenu par une puissante industrie en quelques décennies. Cet été, le Musée des Arts Décoratifs et du Design de la cité bordelaise met à l’honneur les sneakers à l’occasion d’une exposition unique. L’occasion de revenir sur l’origine d’une tendance qui n’est pas prête de s’essouffler.
La basket a abordé le sport, est devenue par la suite un emblème de la culture de rue, puis adoubée par la mode et enfin devenue un objet de collection.
De plus, la basket était auparavant uniquement portée pour faire du sport.
C’est à partir des années 1960 que les tennis ou baskets ont commencé à être tendance.
Par exemple, au festival d’Avignon 1967, le chorégraphe Maurice Béjart, donne des tennis blanches aux danseuses et danseurs de sa provocatrice Messe pour le temps présent sur une musique électronique de Pierre Henry.
Idem pour la pochette de l’album Abbey Road, John Lennon traverse avec les Beatles une calme rue de Londres chaussé de Spring Court fabriquées à Belleville.
De fil en aiguille, les créateurs de mode ont capté la tendance, comme Karl Lagerfeld en 1976 chez Chloé qui était l’un des seuls à mettre des sneakers aux pieds des femmes lors des défilés.
Tout le monde suit. La Basket devient alors un objet de luxe signé, Pierre Hardy, Hermès, Chanel, Prada, Virgil Abloh (Off-White).
Elle se porte avec tout, passe quasi partout et se pare de multiples couleurs. On peut porter des sneakers avec un tailleur ou un costume.
Tout dépend de l’effet désiré !
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Photo à la Une : © Nike[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]